le commencement

« Il ya de cela des milliers de lune naquit notre maitre, père a tous, Créateur mais en même temps destructeur. Il savait qu’avec le temps ses enfants sèmeraient mort et désolation sur cette terre qu’ils haïssent tant. »

Sur des terres sombres et verdoyantes, une colline s’élevait des ténèbres a son sommet ce dresse un manoir imposant et terrifiant, d’immense gargouilles étaient là telles des gardes veillant sur le domaine de leur maitre. Une allée, bordée de statues, serpentait jusqu’aux portes du manoir qui était sombre et faite d’un bois massif qui dégagait une impression de force. Ces portes, même après plusieurs générations, seront toujours présente comme si elles avaient toujours étée là.

Sur le seuil, une silhouette solitaire admirait le ciel, ce magnifique voile bleu nuit parsemé d’étoile tel des anges surveillant leur descendance. Le personnage fut sortit de cette contemplation par un bruit venant de la foret avoisinante, tout de suite ses yeux devinrent froids, glacials, remplis d’une haine qui l’avait suivie dans les siècles. Il s’élançât sur la pelouse tout en dégainant sa magnifique épée, il s’enfonçât sans hésitation dans l’épaisse foret, tout de suite la luminosité diminua et il était entouré par les bruits de la nature.
Il fit quelque pas dans les ténèbres, les oreilles en alerte au moindre bruit suspect, son cœur battait a un rythme infernale, les yeux vifs scrutant la nuit.
Alors un sourire maléfique ce dessina sur son visage pale, dans ses yeux, une flamme de démence venait d’apparaître, ces lèvres fines et charnues, des lèvres qui au premier baiser vous envoutent et nous font sombrer.

Il baissa l’arme le long de son corps et pivota tranquillement, sur une bute ce tenait un monstre, ces crocs luisaient sous le reflet de la lune, ces yeux injectés de sang fixer sans sciller le père créateur, du sang maculé ces griffe signe que la bête venait de manger, la respiration saccadée, il reprenait des forces…

Alors sans prévenir un combat titanesque commença ou seul la nuit était témoin. Les coups pleuvaient et martelaient soit l’adversaire soit le sol. Les griffes de la bête déchirèrent la tunique du père, sur sa joue un mince filé de sang perlait.
Le père avait déjà bien affaibli son adversaire, il l’avait entaillé au niveau des cuisses et de l’abdomen.
Un répit dans les hostilités permit aux combattants de ce juger du regard. Dans leurs yeux rien d’autre que la détermination brillait maintenant, ils tournèrent dans un cercle qui semblait définie depuis longtemps. Dans cette lutte acharnée, ils repartirent tels deux gladiateurs pour leur survie, ils s’opposèrent.
Après des heures de combat ils étaient tout les deux par terre, a moitié mort, la terre gorgée de sang, les arbres aux alentours était soit griffé soit découpé. Une épée a la lame vert émeraude était plantée dans l' un des arbres, alors que les deux combattants ce regardaient pour savoir lequel allait mourir le premier, une lumière blanche descendis du ciel et ce posa a terre. Une magnifique femme ce tenait devant eux, une puissance gigantesque émanait de cette personne, elle imposait le respect, elle s’avançât entre les deux êtres ses yeux exprimait une peine, une immense peine.
« Vous créatures... vous êtes bien sottes !! je vous ai fait un don, a chacun d’entre vous, et tout ce que vous faites c’est vous battre. Même si vous le refusait depuis des siècles, vous êtes mais enfants, et une telle bêtise de votre part et non acceptable et par conséquence je vous renie et vous maudit étrangers, tel étaient votre souhait vous et vos enfants en payerons le prix. »

La femme s’élevât puis disparue dans un flash blanc, aveuglant les deux fils. Quand ils rouvrirent les yeux, ils étaient guéris et en parfaite santé.
Ils virent que c’était l’aurore, ils décidèrent de partir chacun de leur coté, le père se tourna vers le soleil qui naissait a l’horizon, immédiatemet il se sentit affaibli par cette vision.
La bete elle partait a l’opposer mais elle remarqua que la lune était bizarre, une lune rouge, quand il posa les yeux dessus il devina que cette lune allait lui poser des problèmes.
Telle « était » et telle « est » leur malédiction, certains ne supportent plus le soleil et les autre la lune.
Mais une chose était sûr... la guerre ne faisait que commençait vu que chaque clan rejette la faute sur l' autre.


« Un ange qui n’aurez pas du voir cela »